MMA : Les vrais cachets de combattants, les risques encourus…

Le MMA est investi par les lutteurs sénégalais. Tout récemment, Bombardier a frôlé la mort après avoir été mis KO par le Polonais Mariusz Pudzianowski.

Beaucoup de gens considèrent les combattants de MMA comme faisant partie des athlètes les plus surpayés de la planète.
Pourtant, renseigne le quotidien des arènes sénégalaises Sunu Lamb, les combattants se plaignent d’être sous-payés.

En effet, le cachet varie d’une personne à l’autre. Celles considérées comme des noms familiers peuvent gagner des millions de dollars en un seul combat.

Alors que les combattants en devenir pourraient gagner aussi peu que 10 000 euros soit 6.500.000 Fcfa par combat. Le combat est l’un des métiers les plus durs au monde, toutes professions confondues.

Bien que le salaire moyen d’un combat UFC soit d’environ 138 250 $ par combat. Mais, au maximum, ils ne se battent que deux à trois fois par an.

Les combattants doivent également payer 10 à 20 % de leur bourse qui va à leurs entraîneurs et partenaires d’entraînement.

Ils souffrent de coupures et d’ecchymoses qui peuvent mettre environ 3 à 4 mois à guérir.

Dans les pires scénarios, comme une intervention chirurgicale ou une opération, cela pourrait prendre plus d’un an.

Pendant cette période, un combattant peut ne pas être en mesure de concourir à moins qu’il ne soit médicalement autorisé, ce qui entraîne une stagnation en termes de revenus.

C’est l’une des raisons pour lesquelles les combattants se considèrent sous-payés.

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